Merci mamie Gisou pour son cliché top less sur la plage de Saint-Tropez, merci Beyoncé pour son clip Countdown largement plagié de Rosas danst Rosas d’Anne Teresa de Keersmaeker et merci Buster Keaton pour ton déhanché dans The play house. Cet espace de travail nous permet de questionner les images qui nous entourent de la plus populaire à la plus élitiste, de la plus iconique à la plus triviale.
Quelles sont les figures que l’on adule ?
Quelles sont celles que l’on oublie ou celles qui persistent dans le temps ?
À partir de recherches corporelles et musicales nous créons des projets, performances hybrides souvent décalés et/ou anachroniques. Nous aimons nous jouer des codes, changer d’angles de vue et détourner les images trop figées. Ainsi la question du regard et du rapport au public traverse notre travail et nous force à nous réinventer : nous et notre rapport à l’espace.